C’est en tout cas ce à quoi s’attendent une majorité d’économistes et que les bourses de l’ensemble des pays anticipent avec des baisses très importantes.
Autre indice d’une crise, la baisse des cours du pétrole, là aussi dans l’anticipation d’un fort ralentissement de l’activité.
La semaine qui vient dira si la situation va encore empirer et précipiter l’économie mondiale dans une profonde récession au coût pharamineux.
Ce que l’on peut dire, crise ou pas, c’est que Trump se moque de l’économie et de tous ses fondamentaux, vivant encore une fois dans une fantasmagorie où l’Amérique de ses rêves est celle de l’âge doré, des barons voleurs, des droits de douane et de la pauvreté des travailleurs malléables à merci, une Amérique qui découvrait l’impérialisme et qui devenait même colonialiste aux Philippines.