Près de trois mois après, Trump n’a même pas réussi à faire respecter un cessez-le-feu.
Son intervention incohérente a surtout provoqué une intensification du conflit de la part du régime de Poutine avec le bombardement de plusieurs cibles civiles qui a causé la mort de nombreux enfants.
Il est difficile de savoir si le président américain joue la carte de la paix, en espérant être récompensé du Nobel ou s’il cherche la reddition des Ukrainiens pour faire plaisir à son ami – ou son maître-chanteur – Poutine.
L’un dans l’autre, il est incapable de peser autrement que négativement sur les belligérants et il commence à se ridiculiser, plus grave, à ridiculiser les Etats-Unis.
Mais comme Trump n’aime pas perdre – et quand il le fait, il blâme et rend responsable systématiquement des tiers – on peut craindre que pour masquer son fiasco, il se décide à agir de manière qui aurait comme principale victime, le peuple ukrainien.
Quoi qu’il en soit, des innocents continuent à mourir du fait de Poutine et, désormais, Trump est son complice.