27 octobre 2024: Donald Trump organise un meeting au même Madison square garden.
Ce qui unit ces deux hommes: ils sont tous deux des admirateurs d’Adolph Hitler et des ennemis de la démocratie républicaine libérale.
Kuhn est un nazi convaincu qui veut renverser la démocratie américaine pour mettre en place un régime identique à celui d’Allemagne.
Il bénéficie de l’alliance avec les chrétiens réactionnaires et de personnalités comme Charles Lindbergh.
Trump a plusieurs fois fait des compliments sur le chef du Troisième Reich, affirmant qu’il a fait maintes bonnes choses et un de ses livres de chevet est Mein Kampf comme l’a révélé son ex-femme.
Il est soutenu par les chrétiens réactionnaires et par des personnalités comme Elon Musk.
Et le 6 janvier 2021, il a voulu renverser la démocratie lors de sa tentative de coup d’Etat et l’envahissement du Congrès à Washington.
Kuhn a fait allégeance à une dictature, celle de l’Allemagne nazie, affirmant que celle-ci n’est pas l’ennemie des États-Unis, tout comme Trump qui a fait allégeance au régime totalitaire de Poutine.
Et ces deux pays ont investi la politique américaine avec nombre de relais dans les médias, dans le milieu politique et dans celui des personnalités en tentant d’influer sur celle-ci comme l’Allemagne qui veut faire en sorte en 1940 que les États-Unis n’entrent pas en guerre contre l’Allemagne en essayant de faire battre Franklin Roosevelt lors des présidentielles et comme la Russie en 2024 qui veut faire en sorte que les États-Unis ne soutiennent plus l’Ukraine après avoir aidé à faire battre Hillary Clinton à la présidentielle de 2016.
A l’époque, Lindbergh était un admirateur d’Hitler.
Aujourd’hui c’est Musk qui est un admirateur de Poutine.
Et Kuhn, et Trump ont le même slogan: America first.
Et je pourrais continuer.
Dans les années 1940, les États-Unis ont fait la chasse à ces extrémistes sans faiblesse.
Dans ce 21e siècle, cette chasse n’est malheureusement pas aussi vigoureuse.