Il suffit de voir qui soutient qui, et dans l’invasion de l’Ukraine par Poutine, et suite à l’action terroriste du Hamas contre Israël, pour se rendre compte que les forces, les groupes et les individus qui supportent l’une et l’autre sont avant tout des ennemis de la démocratie républicaine libérale.
Si l’on ne peut évidemment affirmer qu’il y a un complot structuré ourdi contre cette dernière, il n’est pas inutile de rappeler que l’agression de Poutine contre l’Ukraine a reçu le soutien (ou l’absence de condamnation) de la part de ceux qui soutiennent le Hamas et condamnent l’action d’Israël suite à l’attentat terroriste dont il a été victime le 7 octobre.
Il n’est pas inutile de rappeler que des délégations du Hamas ont été reçues officiellement avant et après son action terroriste contre Israël par le gouvernement de Vladimir Poutine.
Et les dernières déclarations de ce dernier – alors même que des otages russes sont détenus par le Hamas! – où il fustigent les Etats-Unis et leurs alliés pour leurs soutiens à l’Ukraine et à Israël, sont une nouvelle preuve de cette alliance de fait qui réunit tous les ennemis de la démocratie.
Faut-il rappeler que la condamnation du Kremlin contre les frappes israéliennes font fi de celles de l’armée russe contre les civils ukrainiens ou syriens…
Dès lors, on peut penser que, dorénavant, tout acte violent contre une démocratie verra cette même coalition de régimes autocratiques, autoritaires et totalitaires avec quelques idiots utiles qui règleront leur haine de l’Occident (qui leur permet de ne pas regarder en face leur responsabilité dans la situation de leurs pays) se réjouir de celui-ci.
C’est pourquoi les démocratie républicaines libérales doivent prendre la mesure du défi qui les attendent désormais d’autant qu’elles doivent aussi lutter contre les déstabilisations de leurs ennemis internes.