Pire ennemie, la nature l’est aussi et une grande partie de notre travail est de nous protéger de ses périls multiples.
La covid19 nous l’avait rappelé et le séisme meurtrier qui vient de frapper la Turquie et la Syrie fait de même avec ses milliers de morts déjà décomptés.
En fait, la nature est ce qu’elle est, ni bonne, ni mauvaise.
Elle nous apporte des bienfaits extraordinaires tout autant qu’elle est la responsable de terribles catastrophes.
N’oublions pas que la grippe espagnole de 1918 a fait plus de morts que la guerre de 14-18…
Toute notre énergie à tenter de parer ses colères parait souvent bien dérisoire mais nous n’avons pas le choix.
De même que nous devons consacrer la même énergie à la protéger.
Et là nous ne pouvons pas fuir notre responsabilité comme élément de cette nature qui est trop souvent dans la destruction.
Nous ne parviendrons jamais à éviter les tremblements de terre – espérons que nous pourrons les prévoir avec plus d’efficacité qu’aujourd’hui – mais nous pouvons agir sur d’autres maux comme les maladies, la faim et la soif.
Surtout nous devons agir pour adopter des comportements afin d’éviter que notre planète déjà si dangereuse ne devienne un enfer par notre faute.