La justice newyorkaise vient de condamner la Trump organization pour fraude fiscale en estimant que la société de l’ancien président des Etats-Unis avait une «culture de la fraude et de la tromperie».
Petit à petit, la nasse se referme sur un personnage qui n’est en réalité qu’un escroc qui a amené dans la sphère de la politique les pratiques mafieuses les plus exécrables.
Car un chose semble évidente, de ses malversations en tant que promoteur qui a fait plusieurs fois faillites à ses agissements en tant que président allant jusqu’à fomenter un coup d’Etat pour demeurer au pouvoir après sa défaite électorale, la place de Trump est en prison.
Ses récentes déclarations où il appelle à suspendre la Constitution des Etats-Unis et à le remettre immédiatement au pouvoir après avoir reçu deux admirateurs antisémites de Hitler à dîner chez lui, confirment qu’il faut pour toujours écarter cet admirateur des autocrates et des dictateurs, de Poutine à Kim, du pouvoir et qu’il paye pour tous les délits et les crimes qu’il a commis.
C’est une nécessité pour la bonne santé de la démocratie républicaine étasunienne mais également mondiale parce que Trump est devenu un étendard pour le populisme extrémiste le plus honteux et le plus dangereux pour les valeurs humanistes et l’Etat de droit.
Sa condamnation serait en outre un signe fort pour tous ceux qui, dans les démocraties, tentent de l’imiter, des Le Pen aux Orban, des Mélenchon aux Meloni.