Personne n’est vraiment surpris de la surenchère de Poutine dans son agression illégale et illégitime de l’Ukraine.
En mobilisant 300.000 réservistes et en affirmant que c’est l’Occident qui lui fait une guerre qu’il a lui-même et tout seul déclenché, ce qui lui permet d’agiter une énième fois la menace nucléaire tout en promettant une guerre totale, il s’est enfermé dans son fantasme irréalisable de reconstruire l’URSS de Staline et de devenir le leader d’un nouveau monde où la Russie serait la puissance dominante.
Pour assouvir sa mégalomanie narcissique, des centaines de milliers de morts dont de nombreux enfants, ders destructions totales de villes, des crises énergétiques et alimentaires mondiales, une Russie proche du chaos comptent peu.
C’est au prix du sang que cet assassin mafieux veut construire sa stature historique ce qui en dit long sur sa souillure immonde.
Il semble que le peuple russe, en tout cas dans certains centres urbains, ne partagent pas les visées criminelles du despote du Kremlin.
Serait-ce enfin les prémisses d’une révolte?
Il est encore bien trop tôt pour le dire et l’appareil répressif que Poutine a mis en place ne semble pas permettre une mise en cause par la rue de son pouvoir d’autant qu’il a montré par le passé qu’il n’hésitera pas à employer la même violence à l’intérieur de son pays que celle qu’il applique à l’extérieur.
Le constat est donc simple.
Avec un tel personnage, il n’y a qu’un moyen de le neutraliser en lui infligeant une défaite sans appel en Ukraine et en sanctionnant toujours plus son régime, ce qui permettra in fine de le neutraliser.