Se rend-on bien compte qu’avec l’envoi des supplétifs tchétchènes du boucher Kadyrov, Poutine a envoyé en Ukraine ses assassins pour tuer et terrorise les populations civiles?
Se rend-on bien compte qu’avec l’arrivée des hommes de main du groupe Wagner, Poutine y a également envoyé ses tueurs à gages pour éliminer le plus d’Ukrainiens possibles?
Est-ce que l’on se rend compte que Poutine n’est qu’un vulgaire chef de bande de la pire engeance s’étant, par ses trafics, enrichis d’argent sale et, par ses détournements, ayant escroqué de milliards le peuple russe, qui règle ses comptes, tel un parrain mafieux, en ordonnant les meurtres de ses opposants et en n’hésitant pas à organiser la terreur dans la population pour faire respecter l’Etat qu’il mis en place et qui ressemble avant tout à une organisation criminelle?
Et pourtant, partout dans le monde, Poutine trouve des soutiens à sa guerre scélérate contre l’Ukraine…
D’abord de la part de gouvernements totalitaires comme ceux de la Chine, de la Biélorussie, de la Syrie, d’Iran ou de la Corée du Nord ou autocratiques comme ceux du Venezuela, d’Algérie et des Emirats arabes unis mais aussi ceux de pays plus ou moins démocratiques comme celui l’Inde du populiste Modi sans oublier ceux des nouveaux Etats croupions du dictateur russe comme la Centrafrique et le Mali.
Ensuite auprès de personnages dangereux des pays occidentaux comme Trump, Zemmour ou Le Pen.
Enfin parmi ceux qui, dans la population mondiale, qui haïssent la démocratie, dont de nombreux Français, Européens et Américains.
Ce qui uni tous ces gens, c’est leur indignité qui n’est pas nouvelle – nombre d’entre eux ont beaucoup de sang innocent sur les mains comme le maître du Kremlin – mais qui trouve naturellement à se dévoiler dans cette guerre où meurent tous les jours des femmes et des enfants ukrainiens.
Ce constat est évidemment préoccupant, on pourrait même dire angoissant, voire terrifiant pour tous ceux qui défendent les valeurs humanistes et le respect de la dignité humaine au plus haut.
L’heure de la vigilance pour tous les démocrates du monde avait déjà sonné, c’est maintenant celle de la résistance qui retentit.