De la Tchétchénie à la Syrie, de la Géorgie à la première guerre contre l’Ukraine en 2014, l’armée de Poutine en a commis des exactions contre les civils.
Et, sans surprise, le voilà qui recommence en faisant tirer sur les Ukrainiens qui manifestent contre la présence des troupes russes, en faisant bombarder les habitations, les centre commerciaux, les écoles, les hôpitaux dont cette maternité de Marioupol.
Comme tous les criminels de guerre, comme les nazis le firent systématiquement notamment à propos de la «solution finale», Poutine s’empresse de nier ainsi qu’il le fit quand un de ses missiles abattit un avion de ligne lors de son invasion de la Crimée, faisant 300 morts dont des enfants.
Le recrutement de mercenaires tchétchènes et syriens qui sont plus courageux à massacrer femmes et enfants qu’à se battre contre des armées, ne peut que faire empirer ce triste bilan dont on sait, malheureusement, qu’il y a peu de chances qu’il ait à en rendre compte devant les tribunaux à l’instar de ces «glorieux» devanciers qui, pour la plupart, moururent tranquillement dans leurs lits.
Ceux qui «découvrent» que Poutine a un problème mental sont soit niais, soit ont fait semblant de regarder ailleurs quand il commettait ses méfaits.
C’est d’ailleurs comme cela que ses devanciers ont pu agir avec autant de célérité dans leurs entreprises criminelles à grande échelle.
Quant à nous, au lieu de descendre tous les jours dans les rues par millions pour dénoncer, s’indigner et crier notre colère, pour que notre désespoir se transforme en un ouragan qui balaye cet infâme tyran, piteux devant nos écrans, nous faisons ce simple constat: encore un.