Le GIEC vient de publier le deuxième volet de son rapport sur le changement climatique qui concerne les conséquences de celui-ci sur les sociétés humaines et les écosystèmes.
Et le tableau de la situation dressé par les experts n’est guère réjouissant avec l’amplification des phénomènes qu’ils décrivent depuis longtemps maintenant.
Cependant, ils nous disent que nous pouvons encore agir pour limiter les effets négatifs de cette crise si nous nous en donnons la peine, si nous prenons conscience du risque que nous courons et de la responsabilité que nous avons pour corriger une trajectoire qui nous conduit directement dans le mur.
Mais comment faire confiance en la capacité de l’Humanité à se mobiliser pour éviter le pire quand un dictateur fou est en train de nous plonger dans une guerre qui pourrait bien dégénérer en un conflit mondial?!
Ainsi, monsieur Poutine, s’il avait été un dirigeant responsable et avisé, au lieu d’aller combattre l’Ukraine qui ne lui avait rien fait, aurait utilisé son énergie à lutter afin d’éviter les catastrophes naturelles qui s’annoncent et qui pourraient se répéter à des intervalles très rapprochés.
En un mot, au lieu de faire le mal, il aurait pu choisir de faire le bien.
Malheureusement, il n’est pas le seul à avoir choisi le côté obscur et à préférer détruire que construire.
A moins qu’il n’ait trouvé la solution radicale: déclencher une troisième guerre mondiale qui sera certainement nucléaire ce qui détruirait une grande partie de la population mondiale et, par là-même résoudrait la crise climatique en rendant la planète inhabitable…