Ni le Fonds Monétaire internationale (3%), ni la Banque mondiale (3,4%), ni la Banque centrale du Brésil (3,5%) n’escomptent une croissance aussi élevée que celle que prétend atteindre le ministre des Finances, Guido Mantega, connu pour un optimisme un peu trop partisan…
Selon lui, la croissance du pays sera, quoiqu’il arrive, de 4% en 2012 et ne sera dépassée que par celles de la Chine et de l’Inde.
Rappelons, tout de même, que jusqu’à présent le gouvernement brésilien tablait sur un taux de croissance de 5%.
Jean-Louis Pommery
© 2012 LesNouveauxMondes.org